le message de Daniel
SERVICE MINIMUM DANS LES TRANSPORTS
ET REFORME DES REGIMES SPECIAUX DE RETRAITE
DEUX NOUVEAUX DEFIS POUR LE PRESIDENT SARKOZY
Le droit de grève n'est en rien remis en cause par un service minimum garanti mais il préserve le droit au travail des autres salariés.
Causer un préjudice à un grand nombre de salariés sous prétexte de grève chez une poignée d'individus a quelque chose de choquant.
Syndiqués ou non, rien n'autorise à pénaliser ceux qui n'ont rien à voir dans une histoire tripartite entre un patronat, un syndicat et des salariés.
Force est de constater que la situation actuelle ne peut plus perdurer puisque certains syndicats usent et abusent de ce droit en évoquant des prétextes futiles qui servent en réalité à masquer, très souvent, des objectifs beaucoup plus politiques, pour preuve les dizaines de préavis déposés chaque jour à la SNCF.
Causer un préjudice à un grand nombre de salariés sous prétexte de grève chez une poignée d'individus a quelque chose de choquant.
Syndiqués ou non, rien n'autorise à pénaliser ceux qui n'ont rien à voir dans une histoire tripartite entre un patronat, un syndicat et des salariés.
Force est de constater que la situation actuelle ne peut plus perdurer puisque certains syndicats usent et abusent de ce droit en évoquant des prétextes futiles qui servent en réalité à masquer, très souvent, des objectifs beaucoup plus politiques, pour preuve les dizaines de préavis déposés chaque jour à la SNCF.
Doit-on supporter encore longtemps le fait que quelques centaines, voire dizaines d’individus paralysent notre pays en prenant des millions de Personnes en otage ? Poser la question c’est donner la réponse. Ces professionnels de la grève pensent-ils une seconde à ce que coûtent à notre économie ces arrêts de travail à répétition ? Imaginent-ils qu’ils obligent des chômeurs à renoncer à un éventuel emploi faute pour ces derniers d’avoir put se rendre à un entretien ? Se mettent-ils à la place de salariés qui, arrivant trop souvent en retard ou ne pouvant tout simplement pas se rendre sur leur lieu de travail voient leur salaire amputé, jusqu’à ce que, lassés, leurs employeurs leur demandent d’aller chercher du travail ailleurs? Le Président Sarkozy, en proposant un service minimum ne fait qu’exprimer le désir de millions de travailleurs, sans avoir eu recours pour cela aux ridicules ‘’ débats participatifs ‘’du camp d’en face qui n’ont d’ailleurs servi à rien puisque n’ayant jamais vraiment eu lieu. Il faut le soutenir dans cette démarche car il aura besoin, une fois de plus, d’un courage politique extraordinaire pour arriver à ses fins. Mais pour cela, je crois qu’on peut lui faire confiance. Il devra faire face, dès le projet déposé , aux professionnels du ‘’ battage ‘’ du pavé parisien qui ne manqueront pas de se déverser dans les rues de notre capitale en hurlant contre ce qu’ils ne manqueront pas d’appeler ‘’ une atteinte au droit de grève. ‘’ Mais sincèrement, est-ce que limitation de vitesse veut dire interdiction de rouler ? Les syndicats réclament paraît-il plus de dialogue social au sein de leurs entreprises pour, soit disant, éviter les grèves.
Mais de qui se moquent-ils ?
Comment croire à la sincérité d’une telle démarche quand, ces mêmes représentants syndicaux affirment haut et fort, avant même le début des négociations, qu’ils ne cèderons sur rien, ou quand ils prétendent que leur Direction refuse de négocier quand elle ne cède pas à l’ensemble de leurs revendications. Curieuse conception du dialogue social.
Oui Nicolas Sarkozy, face au « surtout ne rien changer de la majorité des syndicats soutenus par une gauche totalement rétrograde » devra relever ce grand défi, en y ajoutant la réforme des régimes spéciaux de retraite, autre injustice qu’il faudra bien un jour abolir.
Il ne s’agit pas, ici,de jeter le discrédit sur une partie des travailleurs de notre pays, l’objectif
étant tout simplement de remettre un peu d’égalité entre ceux qui bénéficient déjà de multiples avantages ( sécurité de l’emploi, retraites et leurs montants; comités d’Entreprises etc.) et les autres qui n’ont rien ou presque rien.
Je redoute que le semblant d’ouverture dont font preuve les syndicats ne soit qu’une façade.
Parlant ici d’un domaine que je connais particulièrement bien, c’était mon ‘’coup de gueule ‘’ contre ceux qui, encore une fois, s’accrochent à des privilèges (qu’ils baptisent eux, avantages acquis) qui n’ont plus lieu d’être.
envoyé par notre ami Daniel
envoyé par notre ami Daniel
C'est vrai, on aurait du y penser...
J'ai jamais vu d'avions s'arrêter aux passages à niveaux.